mardi 14 juin 2011

Mon transat : le verdict

Je l'ai vraiment voulu ce transat Maclaren ! Peut-être avais-je été influencée par Sex and the City, car Miranda avait un transat vibrant pour son fils.
En tout cas, ce n'est pas le délire de Baby G. Déjà, elle a mis pas mal de temps à accepter d'y aller, vu 
qu'au départ elle détestait être attachée (mais en bonne mère juive séfarade, impossible pour moi de la laisser "libre" dedans, on ne sait jamais !).

Une fois l'habitude prise, elle ne disait plus rien mais alors ... elle déteste le mode vibreur. C'est bien dommage, vu que c'est le "plus produit" !

Je vous remets une photo pour que vous visualisiez le truc :


Maclaren transat Rocker (99,90 euros en ce moment sur Pixmania)


En revanche, ce qu'elle apprécie tout particulièrement, c'est la bascule ! Mes jambes lui disent d'ailleurs "merci", vu le nombre de soirées passées à la basculer pendant les fameuses angoisses nocturnes.
Ca doit être pour cela aussi que j'ai vite retrouvé la ligne. Pas le temps de dîner correctement, faire les 100 pas dans l'appart et alterner avec les exercices pour les jambes, ça aide !

Et sinon, elle aime beaucoup le transat acheté par ma maman, le Doomoo de Babymoov : très ergonomique, il lui permet de faire de très bonnes siestes ;-) :


Doomoo de Babymoov (119 euros) 


Bref, si c'était à refaire, j'opterais directement pour le Babymoov (pour le côté confort) et pour un transat lambda à bascule pour gérer les crises quand nos bras ne la consolent plus.

G.M




lundi 13 juin 2011

L' angoisse nocturne du nourisson

Baby G est une petit fille super cool. Depuis son arrivée, elle mange, dort, mange, dort ... jusqu'à 18h / 19h.
Et après : c'est un petit diable !

Même si nous étions totalement à l'ouest les premiers jours à la maison, nous avons vite constaté qu'elle poussait sa gueulante tous les soirs à la même heure. Après quelques recherches sur la toile, il était évident qu'elle nous faisait la fameuse "angoisse nocturne du bébé". Je t'en foutrais, de l'angoisse !

Sérieusement, de quoi peut donc s'angoisser un bébé, puisqu'il n'a pas de raison apparente ! Et en plus, on s'occupe de lui, on ne le délaisse pas, on lui chante des berceuses ... et ce bébé hurle ! GRRRRRRRR.


Après mes coups de gueule intérieurs, à me dire que c'était vraiment la galère d'avoir un môme, voici ce que j'ai fait et qui a (parfois) marché. Alors, jeune parent, si je peux t'aider, j'en serais ravie et je t'invite à lire ce qui suit :

*le bébé flippe du changement de rythme jour - soirée - nuit. Il n'y a rien à faire, c'est "physiologique", dixit le pédiatre. Mettons nous à sa place (bon, là c'est moi qui le dit, alors je ne sais pas si c'est vraiment ça) : pendant 9 mois, il était tranquille, dans le noir, à manger sans rien faire ... et là, il est sollicité par tout le monde à la lumière, doit manger, digérer (haaaaaa, le vaste sujet des coliques !), vivre une vie à laquelle il ne s'attendait pas. Ajoutez donc la fatigue des parents, mélangez et obtenez une sacrée soirée !

*bon, le "rien à faire" m'exaspère alors je la berçais, lui parlais ... je pense que parfois ça l'énervait d'ailleurs. Le mieux que nous aillons trouvé au départ : la mettre debout contre nous et marcher. Normalement, l'angoisse passe après le biberon qui suit, mais ça fait 3 heures de sport intense pour les jambes et surtout pour les nerfs.

*un petit conseil : le "laisser le bébé pleurer dans sa chambre" ne marche pas, sauf si on veut l'énerver encore plus et culpabiliser comme des tarés. Nous l'avons fait une fois, pendant au maximum 2 minutes chrono et franchement ! autant l'entendre pleurer dans nos bras, car il faut reconnaître que ça fait mal au coeur de voir un petit bout s'angoisser comme ça.

*notre fille adore le bain, c'était un bon moyen d'écourter la crise : juste avant le bib, on le lui faisait prendre et ça la détendait un peu.

*la magie du transat à bascule : ça muscle en plus.

*chanter des chansons douces, lui caresser doucement le haut de la tête en descendant vers ses yeux (ça a tendance à les endormir) et blottir notre tête contre la sienne peut être une solution. J'ai remarqué que ma fille (comme pas mal de bébé) a besoin de coller sa tête contre son tour de lit, ou contre mon coup quand je la porte et a besoin d'être rassurée. En bref, besoin de contact (comme le contact contre la paroi de l'utérus pendant la grossesse, certainement).

*enfin, même si on se sent excédé, exténué : ne jamais secouer son bébé.

(*et se dire que si tout va bien, ces soirées de folie n'excèdent pas les 3 mois).

Enjoy ! ;-)

G.M

(Ma ?) vérité sur le baby blues

Futures mamans, vous vous demandez peut-être ce qu'est vraiment le baby blues et si vous l'aurez.
Perso, je me posais parfois la question, et je me disais même que je serai forte, entourée, comblée donc que je ne l'aurai pas, ou alors un tout petit peu.

Alors, oui ! J'ai été entourée, comblée mais alors, pas très forte ! C'était même énervant de se sentir mal alors que tout allait bien (nous avons la chance d'avoir un bébé cool).

Retour en arrière : j'ai eu ma crise de larmes le deuxième matin à la maternité, car Baby G avait pleuré toute la nuit. En effet, elle avait des glaires, donc je ne pouvais pas la nourrir de la journée pour éviter de trop la "charger". Mais, n'ayant pas bu pendant 9 heures, imaginez-la à la nuit tombée : elle faisait la danse du ventre, la pauvre, et je ne pouvais rien faire d'autre qu'attendre les 3 heures avant la prochaine tétée. A la fin, elle n'avait même plus de voix. Je me sentais tellement désemparée, je me disais que j'étais incapable de la consoler (enfin en même temps, quand un estomac crie famine, il n'y a rien à faire ...) et je luttais pour ne pas m'endormir.
Donc, au réveil, grosse déprime. Puis, ça a allait mieux ...

... jusqu'au retour à la maison. Une fois le ménage et le rangement effectués, tout m'est revenu en flash : la naissance de ma fille (je n'ai pas pleuré lorsqu'elle est sortie de mon ventre), ce sentiment incroyable en la voyant, c'est comme si je l'avais toujours connue, et cette évidence : je l'aime inconditionnellement (alors qu'une de mes plus grandes craintes était de ne rien ressentir du tout pour elle, ha ha ha). Alors là, ouvrez les vannes : je pleurais sans cesse de joie, je la regardais et m'effondrais, car je n'arrivais pas à gérer mes émotions par rapport à elle (et je pleurais tout ce que je n'avais pas pleuré lors de son arrivée).
Mais les larmes de joie se sont vite transformées ...

... Le deuxième jour à la maison, j'ai réalisé que j'étais Maman. Une "daronne", une "adulte" ... moins d'une semaine en arrière, je ne pensais qu'à moi, mon nombril et là, paf ! Je devais m'occuper d'un petit être totalement dépendant de ses parents. Quelle pression ! Et je me disais : "ouai, je suis contente ... mais n'étais-je pas plus heureuse avant ? N'ai-je pas fait une connerie ?". Bon, tout s'est envolé en quelques jours, biensûr que je n'ai pas fait de connerie et que je suis plus heureuse maintenant !

Puis, le fait de se sentir délaissée par les proches (sujet déjà abordé dans un autre post) a joué aussi.

Petit à petit, j'allais mieux. Mais avec des rechutes. En gros, je pense que mon baby blues a duré près de deux mois (attention, avec de longs moments de " baby joy ". Disons que mes moments de cafard étaient assez rares, mais aussi assez éprouvants pour que je men souvienne.

Maintenant, ça va mieux. Le dialogue m'a beaucoup aidée, avec mon mec, ma mère, mes amies.

C'est très dur de devenir mère, on délaisse un peu son statut de fille. Finalement, je me suis rendue compte que j'aimais bien mon statut de " fifille de papa et maman", même si je voulais être le plus autonome et indépendante possible.

Je conclurai par ce constat : ce n'est pas ma fille ou sa naissance qui a entraîné mon baby blues, mais MOI seule ; à force d'être dans ma bulle depuis 25 ans, à me faire chouchouter, j'ai eu le syndrome de la petite fille gâtée qui tout à coup n'était plus le centre d'intérêt et qui devait assurer pour de bon.
Ma récente maternité m'a plongée pour de bon dans le monde des adultes.

Alors, j'ai séché mes larmes, et zou ! En avant pour cette nouvelle vie !

G.M

samedi 11 juin 2011

Les joies du post partum

J'ai adoré être enceinte, malgré les désagréments "fréquents" de fin de grossesse (rétention d'eau, oedème, etc).

Tout a commencé à s'emballer une nuit, à un mois de mon terme : une forte envie d'uriner, je me lève avec les jambes lourdes, mais lourdes ! Et là, en quittant les WC, je baisse les yeux pour découvrir, en lieu et place de mes mollets - chevilles - pieds : des troncs ! Plus de chevilles, c'est comme si mes jambes étaient des poteaux, ou même des pieds d'éléphant ! Et le pire, c'est que ça fait mal !!!!

Devant mon désarroi, toutes les mamans de mon entourage m'avaient alors assuré : "à peine l'accouchement terminé, tout aura dégonflé !".

Comme j'ai bonne mémoire, une fois ma fille née et la délivrance effectuée, j'ai attendue de me retrouver seule en salle de naissance (mon mec et la petite étaient partis pour la toilette du nouveau né) et j'ai soulevé le drap. Et là, stupeur : rien n'avait bougé...

Et ce que je n'avais pas prévu, c'est ce serait de pire en pire pendant le séjour à la maternité ! D'un sens, cela va de soi : il y fait super chaud et on ne bouge pas trop.

Avant mon départ, le gynéco m'a dit : "vous aurez dégonflé dans les 10 jours".
MENTEUR !!!!!! J'ai mis un mois à retrouver mes pieds "d'avant" ! Et il m'a fallu un mois et demi pour remettre mes bagues et ne plus avoir ces affreux picotements dans les doigts qui m'enlevaient toute sensibilité .... Alors que j'avais pratiquement perdu tout mon poids de grossesse.

Ha, et le mal à s'accroupir, s'asseoir, se lever, se baisser ... n'est pas réservé aux épisio ou aux déchirures : je n'ai eu ni l'une, ni l'autre, et j'ai pourtant bien douillé après ! Là encore, c'est plus que logique, car 52 cm et 3,034 kgs ne sortent pas sans tout écarter sur leur passage !

C'est bizarre, j'aurais dû penser à tout cela avant, mais j'avais une telle trouille de l'accouchement que j'avais totalement scotomisé les désagréments qui y seraient liés après.

Autre joie du post partum : les sueurs froides nocturnes ... Et pourtant, je n'allaite pas ! Comme c'est charmant, déjà qu'on a le corps et le moral en charpie, de se réveiller trempée jusqu'aux os, grelottant et sanglottant à son âme soeur "haaaaa, j'ai froiiiiiiiiiiiiiiiiiid", alors qu'il fait plus de 20°C dans la chambre !

Bon, on perd aussi pas mal de cheveux après l'accouchement ... d'un coté, ça me permet de faire ma "gym" : passer l'aspi comme une dingue (oui, mon côté maniaque n'a pas bougé d'un iota). D'ailleurs, ma fille adore le bruit de l'aspirateur, il lui arrive même de s'endormir pendant que je m'active dans tout l'appart'.

Sans oublier les sautes d'humeur, l'impression d'avoir été plus heureuse "avant" bébé et d'avoir fait une connerie : comme expliqué dans un autre post, c'est normal d'après la gynéco.

Et enfin, même lorsque j'ai retrouvé mon poids "d'avant" : impossible de remettre certaines fringues !
Hé oui ! Mais après tout, c'est le bonheur d'être maman, alors je m'en fous !

G.M

jeudi 9 juin 2011

L'administration & moi

Suite à mon accouchement, j'étais (comme toutes les nouvelles mamans !) "out of order".

Il n'empêche qu'il fallait avancer, car les factures et autres courriers s'accumulaient. Parmi eux, un feuillet en 3 volets à remplir et renvoyer à la Sécurité Sociale pour rattacher notre fille à nos numéros.

Alors, oui, je l'ai bien rempli et envoyé ....

Deux mois après, je le reçois et on me demande de le renvoyer à nouveau, accompagné ... de l'acte de naissance de la petite ! Hé oui, je l'avais oublié, celui là !!

Si je vous raconte cela, c'est parce que mes indemnités journalières de congé maternité ont alors été suspendues en attendant... charmant, non ?

Voilà ce qui s'appelle être tête en l'air ....

Donc, n'oubliez pas d'envoyer à la Sécu mais aussi à la CAF l'extrait de naissance de votre enfant, et ce, le plus rapidement possible !

G.M

La règle d'or : s'organiser !

Ca paraît évident, mais tout est une question d'organisation dans la vie, surtout dans une vie de jeunes parents.

Malgré les cours de préparation à la naissance, je me suis sentie totalement déboussolée en quittant la maternité. Pourtant, j'ai toujours su me dépatouiller, mais en arrivant à la maison, il fallait faire un peu de ménage, ranger nos affaires ainsi que les (nombreux) cadeaux ... et encore, ma maman m'avait lavé et repassé tous les vêtements offerts à baby G !

Bref, je ne touchais plus terre, surtout qu'elle buvait toutes les 3 heures (donc, au moins 10 min de bib, 20 minutes pour la garder bien droite en attendant le rot ...) ... alors il fallait enchaîner.

On a eu beau me répéter "dors quand elle dort" : je n'ai pas souvent appliqué ce conseil.

Alors, je ne sais pas si cela servira à grand monde, mais voici les petits trucs qui m'ont permis de gagner rapidement du temps et donc, de l'énergie :

*à chaque change, je préparais la couche pour le change d'après : au moins, j'avais juste à enlever la précédente et laver le siège de ma petite, puis glisser la nouvelle sous ses fesses (elle détestais être les fesses à l'air donc il valait mieux se dépêcher !)

*dès le matin, je préparais les doses de lait pour la journée. Je les mettais dans ces boîtes empilables Béaba, ainsi je n'avais qu'à verser la quantité nécessaire dans le biberon, plutôt que de mettre les cuillères une par une :



*une amie m'a offert le Bib'expresso pour mon anniversaire, je ferai un sujet dessus mais je peux vous dire que c'est bien utile ! Idem, je versais l'eau dans le réceptacle : je n'avais alors plus qu'à faire chauffer l'eau et la verser dans le bib :



*sur les conseils (avisés) du pédiatre, j'ai rapidement cessé de stériliser les biberons. Néanmoins, je garde le réflexe pour les tous nouveaux produits (biberons, tétines) avant la première utilisation.
Mais cela ne m'empêchait pas de laver correctement mes biberons, surtout que ce sont les Dodie Mam, avec 6 parties :


Ma règle principale : laver les biberons au fur et à mesure, j'en ai 6, ça laisse de la marge, mais on est vite débordées. Donc, à peine le repas de Poupette fini, lavage du bib, séchage (sur l'égoutte biberon bien lavé), montage de toutes les pièces et stockage au frigo.

Enfin, partir du principe que "ce qui est fait, n'est plus à faire" : on évite de se retrouver avec des tonnes de choses à ranger ou à laver et on en profite pour appliquer (un peu) le "dors quand ton bébé dort !".

G.M

mercredi 8 juin 2011

Vaccination de Baby G

Alors, je me doutais que ce ne serait pas l'expérience la plus sympa de ma fille, malgré le patch Emla, que j'ai dû couper en deux ... tiens d'ailleurs, petits conseils : mon patch se présentait sous forme carrée et le pédiatre m'a dit de le couper en deux car avant trois mois, on ne peut en mettre qu'un sur les bébés (et comme elle allait être piquée dans les deux cuisses, c'était ballot !).

Revenons-en à la préparation : après avoir décollé la partie alu, couper le patch en deux dans le sens de la diagonale et le coller sur le haut de la cuisse, un peu sur le côté et ajouter un pansement sur la partie "coupée" pour éviter que le baume anesthésiant ne s'échappe.

Bref, une fois cette opération effectuée, 1 heure avant les piqures, nous voilà parties chez le pédiatre.
Perso, je pars du principe qu'il faut parler aux touts petits, donc j'ai expliqué à Baby G qu'elle était grande et qu'elle allait donc recevoir ses premiers vaccins, bla, bla, bla.

Toujours est-il qu'une fois sur la table du docteur, Mistinguette a commencé à hurler, alors qu'il n'avait pas encore commencé ! S'en est suivi un gros chagrin après le premier vaccin (DTP) puis une grosse crise après l'injection de l'Infanrix ...

Et, comble de l'ironie, alors que je me voulais rassurante avec une voix toute douce et zen : le pédiatre me sort qu'elle a hurlé car elle a senti mon stress caché et que je ne peux pas lui mentir .... HAHAHAHA ou comment me culpabiliser en 2 phrases !

Puis, ma puce s'est endormie contre moi, pleine de sanglots mais s'est réveillée rassurée en me voyant ... de quoi me déculpabiliser, finalement ...

G.M

lundi 6 juin 2011

De retour !

Je ne pense pas avoir manqué à grand monde ^^

Mais me voilà de retour sur le net ;-)

J'ai donné naissance à Baby G le 1er avril et depuis, c'est le bonheur. Attention, ce n'est PAS que de bonheur ... c'est aussi des angoisses, de la fatigue et des larmes.

Parfois des larmes de joie, quand je la regarde : je peine à réaliser que c'est moi qui l'ai faite, qu'elle est sortie de moi. Je ressens quelque chose de tellement fort que j'en suis submergée... J'espère être une mère à la hauteur pour elle, surtout quand je vois son petit sourire se former le matin, à son réveil.

Mais parfois, ce sont des larmes de tristesse ... c'est bizarre, mais le fait de devenir Maman me chamboule plus que je ne l'aurais pensé, car il m'oblige finalement à grandir d'un coup. Moi qui pensais que la naissance changerait mes relations avec mon homme, il n'en est point (au contraire, nous sommes plus que jamais une vraie équipe) mais je ressens un changement avec mes proches depuis l'accouchement.

Il m'est arrivé d'entrer dans une pièce avec ma fille, et d'attendre 1 minute 30 avant qu'on ne me salue, tellement tout le monde était rivé sur elle. Mais mes réactions sont ambivalentes, car je suis flattée, touchée, qu'elle suscite autant d'intérêt, l'inverse m'aurait sûrement beaucoup plus blessée.

J'en ai bien sûr parlé au médecin : d'après elle, c'est normal et pas d'inquiétude si je me sens comme ça jusque 9 mois après l'accouchement. Ouf, je ne suis pas folle, donc !! Je flippais de faire un gros baby blues, ou de m'enterrer dans une dépression (cachée) ... visiblement ce n'est pas le cas !

Sacrées hormones !

G.M